A Dieu Chrif Abdelfettah,ta famille,tes amis et collègues pensent toujours à toi
NECROLOGIE
C’est avec une grande affliction que nous avons appris le décès de notre collègue et ami Abdelfettah Chrif Suite à une crise cardiaque survenue le vendredi 29-03-2013 en pleine séance de travail.
Les amis et les collègue du défunt, expriment une douleur profonde après sa disparition :
fousi hassane dit :
30 mars 2013
les larmes ont jailli alors que j’ai mis beaucoup de temps pour sortir de mon évanouissement après avoir appris la mort subite d’un ami pour qui j’ai beaucoup de respect .AL MARHOUM était un professeur inné doué respectueux très aimé de toute une ville. Aujourd’hui El Jadida perd un de ses valeureux fils ayant servi son pays avec grand sérieux. NOUS SOMMES EN DEUIL!ALLAH IRAHMAK KHOYA!Nous sommes à dieu et à lui nous retournons!
- HAJY Mostafa dit :
1 avril 2013
L’EUSSES-tu Cru ? ABDELFETTAH CHRIF N’EST PLUS
Ta disparition nous peine, mais ton souvenir reste impérissable.
Heureux sois-tu Sy Abdelfettah , d’avoir été pour nous tous ce modèle qui nous habite encore aujourd’hui… modèle d’un homme lettré, à la hauteur de la belle science qu’il prodigue et où la Courtoisie, l’abnégation & la perspicacité… sont de rigueur …
Porteur de différents modèles pédagogiques : que l’on se souvienne, tu étais l’Horloger & l’Architecte du Cadaap de l’Académie, avec d’autres maîtres du Temps et de l’Espace ahdab, kéraoui ,Aziz … Et les palmes académiques s’ennoblissent !
Modèle d’un humanisme doux : philanthrope et maître de la bonté et de la fraternité , tu as eu le temps de marquer & de façonner avec ta douceur tes disciples, collègues, amis,
Sincères condoléances à tous ceux pour lesquels ton départ est insupportable,
Sincères condoléances à ta famille,
Mostafa HAJY, PARIS
Le 01- 03 – 2013
Ahmed Ben Hima dit :
Je m’associe, dans le deuil que cause la perte d’un si grand ami, à la famille du défunt, à ses amis et au corps enseignant d’El Jadida.
Mohammed MAROUAZI dit:
Au moment où j’ai appris la douloureuse nouvelle du décès de notre cher ami et collègue, l’éminent éducateur, Si Abdelfettah Chérif que Dieu l’ait en Sa Sainte Miséricorde, il m’est venu à l’esprit l’oraison funèbre qu’a prononcé Leconte de l’Isle à l’annonce de la mort de Victor Hugo, et dont je me permets d’emprunter quelques courts extraits : « Dors, Maître, dans la paix de ta gloire ! Repose, cerveau prodigieux, d’où …jaillit l’éruption des concerts éclatants! Ton esprit immortel… emplit l’avenir des voix de ton génie… » En écoutant les éloges prononcés lors des obsèques et en voyant la foule immense qui a accompagné le cercueil de notre cher défunt, on ne peut que répéter ce qu’avait dit M. Le Royer, alors président du sénat français, devant le même spectacle, lors des funéraires de Victor Hugo : «je me demande ce que le langage humain, dans son expression la plus élevée, peut ajouter aux témoignages de regret et d’admiration prodigués à ce prodigieux génie. » Aux proches de notre cher Abdelfettah et à toute la grande famille du corps enseignant jdidi, j’adresse, ici, mes condoléances les plus attristées. رحم الله فقيدنا الكبير إنا لله وإنا إليه راجعون |
Idriss Skalli dit :
تغمـد الله الفقيد برحمته ، وأسكنه فسيـح جنـاته ، وألهم ذويـه الصبـر والسلــوان… وإنا للـه وإنـا إليــه لراجعـــون
Adieu, très cher ami, Si Abdelfattah Chérif.
C’est avec la plus grande douleur que nous avons appris la nouvelle de ton décès. Tu nous a quittés à seulement quelques minutes après que je t’ai parlé au téléphone…le vendredi 29 mars. Et lors de notre communication téléphonique, tu étais bien… aucun signe de quoi que ce soit… Et puis, la nouvelle est tombée…
C’est une très grande perte pour tes amis et tes collègues à ITQANE, en fait pour toute notre large communauté d’éducateurs et de formateurs. Tu es parti tout calmement, avec toute la discrétion qui est la tienne, sans causer de peine à personne, sans déranger personne… à l’image de ton comportement habituel…
Que ta famille et l’ensemble de tes amis – à El Jadida et ailleurs – sachent que tu as toujours été grandement apprécié, plutôt adoré, par tous tes collègues d’ITQANE, tes amis et amies d’ITQANE, et ceci non seulement pour ton professionnalisme distingué et ta rigueur inégalée, mais aussi pour tes qualités humaines confirmées: ta courtoisie, ton relationnel affectueux, ton intégrité exemplaire, tes sorties poétiques et hautement créatives. Tu nous manqueras beaucoup, très cher ami, — plutôt tu nous manques déjà…
إنا لله وإنا إليه راجعون
La Famille CHERIF dit:
La famille Cherif dans son ensemble est très touchée par les marques de compassion, de sympathie et des nombreux témoignages exprimés par tous ceux qui, ayant connu de près ou de loin le Marhoum Si Abdelfettah CHERIF, que Dieu le couvre de sa miséricorde, se sont associés à sa peine par leur présence, leur prière, leurs nombreux messages de condoléances à sa mémoire. Elle leur adresse ses sincères remerciements et les prie de recevoir l’expression de sa profonde reconnaissance.
» Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons »
انا لله و انا اليه راجعون
Au moment où j’ai appris la douloureuse nouvelle du décès de notre cher ami et collègue, l’éminent éducateur, Si Abdelfettah Chérif que Dieu l’ait en Sa Sainte Miséricorde, il m’est venu aussi à l’esprit l’oraison funèbre qu’a prononcé Leconte de l’Isle à l’annonce de la mort de Victor Hugo, et dont je me permets d’emprunter quelques courts extraits :
« Dors, Maître, dans la paix de ta gloire ! Repose, cerveau prodigieux, d’où …jaillit l’éruption des concerts éclatants! Ton esprit immortel… emplit l’avenir des voix de ton génie… »
En écoutant les éloges prononcés lors des obsèques et en voyant la foule immense qui a accompagné le cercueil de notre cher défunt, on ne peut que répéter ce qu’avait dit M. Le Royer, alors président du sénat français, devant le même spectacle, lors des funéraires de Victor Hugo : «je me demande ce que le langage humain, dans son expression la plus élevée, peut ajouter aux témoignages de regret et d’admiration prodigués à ce prodigieux génie. »
Aux proches de notre cher Abdelfettah et à toute la grande famille du corps enseignant jdidi, j’adresse, ici, mes condoléances les plus attristées.
رحم الله فقيدنا الكبير
إنا لله وإنا إليه راجعون
Mohammed Marouazi
Adieu, très cher ami, Si Abdelfattah Chérif.
C’est avec la plus grande douleur que nous avons appris la nouvelle de ton décès. Tu nous a quittés à seulement quelques minutes après que je t’ai parlé au téléphone…le vendredi 29 mars. Et lors de notre communication téléphonique, tu étais bien… aucun signe de quoi que ce soit… Et puis, la nouvelle est tombée…
C’est une très grande perte pour tes amis et tes collègues à ITQANE, en fait pour toute notre large communauté d’éducateurs et de formateurs. Tu es parti tout calmement, avec toute la discrétion qui est la tienne, sans causer de peine à personne, sans déranger personne… à l’image de ton comportement habituel…
Que ta famille et l’ensemble de tes amis – à El Jadida et ailleurs – sachent que tu as toujours été grandement apprécié, plutôt adoré, par tous tes collègues d’ITQANE, tes amis et amies d’ITQANE, et ceci non seulement pour ton professionnalisme distingué et ta rigueur inégalée, mais aussi pour tes qualités humaines confirmées: ta courtoisie, ton relationnel affectueux, ton intégrité exemplaire, tes sorties poétiques et hautement créatives. Tu nous manqueras beaucoup, très cher ami, — plutôt tu nous manques déjà…
إنا لله وإنا إليه راجعون
Abdelkader Ezzaki
Equipe ITQANE.
La Famille CHERIF dans son ensemble est très touchée par les marques de compassion, de sympathie et des nombreux témoignages exprimés par tous ceux qui, ayant connu de près ou de loin le Marhoum Si Abdelfettah CHERIF, que Dieu le couvre de sa miséricorde, se sont associés à sa peine par leur présence, leur prière, leurs nombreux messages de condoléances à sa mémoire. Elle leur adresse ses sincères remerciements et les prie de recevoir l’expression de sa profonde reconnaissance.
» Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons »
انا لله و انا اليه راجعون