Bazwi Lafhal dit :

Il existe encore un volume extravagant comme déchèt et vestige d’une ancienne industrie de l’énergie électrique, notamment de cette matière la plus polluante, nuisible pour la nappe phréatique, la flore et la faune maritime, sur tout le territoire et le littoral du royaume du Maroc. Le pyralène , on le trouve souvent dans les transformateurs électriques anciens installés dans les anciens réseaux électriques depuis 1912, plus concentrés ce genre de transfos autour de la centrale électrique de Casablanca, à Mâachou Daouarat, aussi dans les grandes villes et zones industrielles d’exploitations des mines au Nord- Est du Maroc, Oujda; Djerrada,Taza; Sefrou;Fez;Bin EL ALWidane;Kasba Zidania;Tit Mellil;Agadir;Rabat;Salé et Port de Kenitra; Amazighène (El-Jadida);Ifrane;Meknès;Afourer;Marrakech;Lalla Takercoust (N’fis); Taroudent; ESSawira (Mogador);IM’Fout;
Diplômé de l’Institut Max Planck en 1970, arrivé au Maroc, pour le faire découvrir aux fonctionnaires placés plus haut auprès des ministères et directoires, un grand regret reçu de leur part d’esprit le plus obscure de l’histoire de l’humanité toute entière. Je quittais Le Maroc la même année et je retournais comme contractuel recruté auprès des entreprises étrangères et leurs bureaux d’études de recherches et exploitation des mines, en 1973 j’explorais vite presque tout le territoire les plus riches en mines, pétrole et gaz et aussi où il manquait plus d’eau à l’agriculture expansive des fruits du Sud, (Agadir, Taroudent..), relevés topographiques, géophysiques et sondages du tracé de cheminement du ravitaillement vers Trafaya, OUED Waâar, Oued OUMi Fatma, plus loin au Sud saharien de Tan-Tan (qui était un projet tenu secret, avant le lancement de la future glorieuse Marche Verte) ..Une longue histoire sur l’étude de cet immensité territoriale sub saharienne, dont personne n’en voulût apprécier. Je reprenais ma petite valise, genre de sac à dos ancien du ballot du stock militaire américain vendu à petit prix dans le port de Casablanca, avec quelques ustensiles de petite cuisine, pour aller loin derrière l’horizon, à la recherche d’entreprises qui embauchaient facilement; à travers lesquelles, je pourrais explorer toutes les richesses du Nord Africain saharien jusqu’à la mer Rouge, le péninsule arabique, les pays du Golf , Nord du Koweit, Sud Irakien, Iran, puis je retournais au Sud du Nil, plus loin l’Afrique du Sud en brèves expéditions. Retour à Bruxelles, pour rencontrer des savants américains, en conférence, pour reprendre mes études en 1978 en Allemagne de l’Est ex-RDA, puis en Russie où je leur remettais mes travaux avancés.Ils me proposaient de me faire spécialiser dans la cybernétique, comme ingénieur auprès des montages des grands supercalculateurs, là je rencontrais les problèmes en suspension, comme l’étude des catastrophes naturelles et célestes (Magma, ou celle des étoiles), je me formais vite dans les calculs des structures mécaniques (Ponts et Tunnels), je rejoignais la remontée de l’évolutions des nouveaux logiciels, comme le dernier de l’époque MathLab et d’autres logiciels américains. de 1978 à 1988. Je devais choisir un pays, où je pourrais lancer mes bases techniques; alors je me suis arrêté en passage à Paris au Laboratoire Centrale des Ponts et chaussées; aujourd’hui je le regrette encore, car il fallait passer par Londres, puis traverser l’Atlantique Nord, et tomber à pic à Vancouver au Canada. Certes, ce fût pour moi un long trajet, infortuné, j’ai décidé de m’arrêter à Orléans loin des pollutions accélérées de la grande ville du métropole Paris. Je réanimais un petit site universitaire appelé La Source, au milieu d’un grand jardin botanique. J’étais frappé par l’intensité du racisme et la discrimination de la part des éthnies anciennes d’émigrations en France, qui ont réussi dans la politique. Mais, je gardais des liens amicaux et professionnels, en particuliers, avec les français rares de la région. Quand j’ai réussi tout comprendre, je me retirais dans mon gourbis d’un HLM, au loyer modéré, où je pouvais stocker mes travaux et les publier, ailleurs loin des horizons de la France (Comme par exemple Princeton University, Moscow University….).hélas! si le CP22 arrivait à solutionner ce « PYRALENE », difficile à décomposer ou recycler en basse température pour pouvoir le stocker, jusqu’à qu’on trouvera sa solution un beau jour. C’est un ennemi redoutable de la nature, et la santé humaine. Un exemple parmi d’autres, les mollusques bivalves fixent jusqu’à
300 000 fois le cadmium. On comprend dès lors que les rejets des métaux lourds et le pyralène en mer puissent rester indécelable. En l’an 1970, on a vite calculé le prévisionnel de la durée de trajet de déplacement de ces métaux lourds et l’huiles comme le pyralène, à travers des roches des nappes phréatiques, jusqu’à son arrivée à la mer, en trois cent ans ( en cent dix mille jours environ, parfois moins, à travers les cours d’eaux et fleuves, comme celui d’Oum-Rabiêe..). Nos petits-enfants et aussi les descendants de ces faux ministres, chefs de lieu, préfets mal avertis et leurs walis, en souffriront certainement de plusieurs maladies crèveront trop tôt, comme l’époque des pharaons de l’ancienne Egypte. La date critique avec ce rendez-vous des maladies et syndromes, serait fixée au l’an 2277, selon les données des paramètres de mesures actuelles fixées à ce jour. Calculs prévisionnels avec le logiciels MathLab (USA), en subtilisant les équations du Russe Markov et du physicien en géotechnique Maslow. Pensez-y à ce patrimoine vital dans le risque de se perdre par la pollution, destiné à vos générations à venir, comme un cadeau empoisonné !! Au moins apprenez à respecter et écoutez le battement de coeur de vos savants en la matière des sciences précises. Bonne chance aux Hommes et Femmes talentueux Jdidis si braves et de parents et grands parents légendaires d’Amazighène.