Published On: mer, Août 12th, 2020

«El Jadida entre le passé et le présent» (Al Jadida Bayna Al Amsi wa Lyawm)

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 Par: «NAWRAS BREIJA» Khalid El khodari .

L’écrivain et scénariste Khalid El khodari, prénommé  «NAWRAS BREIJA», vient de publier un nouveau livre portant comme titre : «EL Jadida entre le passé et le présent». Ce livre fait suite à  un précédent livre intitulé «El Jadida entre le cœur et la plume» où l’auteur avait assemblé des articles publiés dans différents journaux marocains et arabes durant trente ans, de 1982 jusqu’à 2012. Des articles en rapport avec la ville et la région des Doukkala et portant sur différents activités : artistiques, culturelles, historiques, sociales… Le présent livre est un recueil d’articles de même nature publiés entre 2012 et 2019, sur El Jadida et la région de Doukkala.

Les articles comportent :

  1. Des lectures analytiques sur différentes activités et travaux artistiques et culturels auxquels a participé l’auteur ou ceux qu’il a pu suivre à  El Jadida et dans certaines de ses régions dans le domaine du cinéma, de la musique,  des arts plastiques et du livre…
  2. Des interviews avec des personnalités actives à El Jadida el la dite région dans différents domaines artistiques, littéraires, sportifs  et sociaux..
  3. Des textes à propos de certaines personnes marquantes sur la scène Jdidie et Doukkalie et mêmes certaines personnes d’apparence simple et ordinaire considérées par certains comme marginales, mais qui sont en  fait vivantes et influentes dans la structure sociale locale et nationale d’une certaine manière. Et ce, tels les chanteurs populaires qu’on fait vite d’oublier ou d’ignorer comme feu Cheikh Moutchou et Abdelkader Dribigua… Ainsi que certains vendeurs ambulants comme Ba Bahja le célèbre vendeur d’escargots depuis plus de 40 ans, Driss le propriétaire de la librairie moderne et le sportif M’barek  Fourra…
  4.  Des articles qui font connaître certains monuments historiques et touristiques ainsi que de célèbres espaces sociaux à  El Jadida et Doukkala tels le Phare de Sidi Bouafi  «Falloura», la Citérne Portugaise et le café Fikhra…
  5.  Des articles informatifs à propos de quelques phénomènes artistiques et sociaux qu’ont connu et la ville d’El Jadida et la province entre le passé et le présent, dont on en cite Moussem Moulay Abdellah Amghar, les calèches «koutci», la troupe des majorettes qui a connu ses heures de gloire durant les années soixante et début des années soixante-dix du siècle dernier sous la boulette de madame Robert (Collette Piglisé) qui est toujours en vie.
  6.  Des comptes rendus élogieux écrits sur des livres écrits par des plumes Doukkalies dans différents genres : histoire, roman, théâtre, poésie, poésie dialectale…

Le romancier et critique littéraire, Dr Ibrahim El Hajri a écrit dans sa présentation du livre sous le titre de «Sentiers croisés, de la création au fait inscrit mémoriel»  ceci :  ((le livre «EL Jadida entre le passé le présent» par Khalid El khodari, est l’aboutissement d’un travail assidu durant nombre d’années et une fouie d’archéologie dans différents domaines, artistiques, littéraires, dans le cinéma, le théâtre, la culture populaire, et le patrimoine des métiers.. son but est d’inscrire ce que l’histoire officielle laisse de côté, à savoir des signes distinctifs que l’auteur considère comme très importants dans la structuration de l’individu et la société locaux ainsi que dans la conservation de leur identité culturelle))

Quant au poète Said Tachfini, lui aussi a cité dans son témoignage ce qui suit : ((C’est «NAWRAS BREIJA» l’un de ces nombreux amoureux de la ville, dont il demeure un éternel passionné par sa beauté.. et ce qu’il en dit dans ce livre est une preuve de sa passion pour la région de Doukkala et son respect sincère pour les créateurs qu’elle a enfantés, ses artistes et les hommes qui l’ont aimée et ont eu une influence sur elle, qu’ils soient de la région, ou qui y ont résidé ou bien qui y ont passé un moment…))

Les parties du livre sont structurés de manière à doter sa lecture d’un aspect cinématographique. On peut le considérer comme un film documentaire teinté de rêve, d’imagination sur la capitale de Doukkala en couleurs et en noir et blanc…

Le livre est en format moyen :16/32cm –  340 pages – 210 images (181 couleur / 29 noir et blanc)

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