Par : Fousi Hassane—

Qui pourrait se targuer de n’avoir jamais rencontré le cafard ? qui me dirait qu’un jour ne s’est-il pas réveillé de mauvaise humeur ?c’est simple les jours passent et ne se ressemblent pas. Parfois le moral n’est pas au beau fixe . On rst plongé dans un état cafardeux et un rideau noir commence à masquer les belles choses. Aujourd’hui plusieurs facteurs du progrès sont là avec leurs publicités fantoches taquinant d’une manière abstraite l’être humain en rendant son quotidien infernal.

On s’occupe trop, soit de la hausse des prix ou des enfants. On craint l’échec ,on évite les gens ,on bosse mpons,on ne compte plus Toute cette facture des choses stressantes donne du fil à retordre quand la bourse est maigre. C’est une des composantes de ce mal  qui ronge l’individu prrdu entre les exigences familiales et l’agression de ses nerfs.

Si la vie se complique en musclant ses exigences, l’être humain se plie en silence .On est plus docile sous l’impulsion, des difficultés et le mode de vie régresse .On devient casanier .On ne communique plus.Là ,on se sent dévalisé de tous les moyens de défenses.

Il y a cafard et cafard…Et si les insecticides mettent fin à la vie des vrais cafards ,le sport en general, chasse  l’état cafardeux et vous procure cette joie de vivre .Enfilez votre tenue de sport,animez vous du désire de bien faire et partez dans la nature au bord de la mer .Marchez, marchez . Je suis sûr que les deux cafards fuiront à votre passage   .

                                                                Fousi Hassane (prof de maths retraité)