Published On: ven, Mar 29th, 2013

Condoléance

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C’est avec une grande affliction que nous avons appris le décès de notre collègue et ami Abdelfettah Chrif Suite à une crise cardiaque survenue le vendredi 29-03-2013 en pleine séance de travail.

Nos compassions à sa petite famille et à sa grande famille qui travaille dans l’enseignement privé et public.

Nous sommes à Dieu et à lui nous revenons.

 

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Displaying 3 Comments
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  1. fousi hassane dit :

    les larmes ont jailli alors que j’ai mis beaucoup de temps pour sortir de mon évanouissement après avoir appris la mort subite d’un ami pour qui j’ai beaucoup de respect .AL MARHOUM était un professeur inné doué respectueux très aimé de toute une ville. Aujourd’hui El Jadida perd un de ses valeureux fils ayant servi son pays avec grand sérieux. NOUS SOMMES EN DEUIL!ALLAH IRAHMAK KHOYA!Nous sommes à dieu et à lui nous retournons!

  2. HAJY Mostafa dit :

    L’EUSSES-tu Cru ? ABDELFETTAH CHRIF N’EST PLUS

    Ta disparition nous peine, mais ton souvenir reste impérissable.

    Heureux sois-tu Sy Abdelfettah , d’avoir été pour nous tous ce modèle qui nous habite encore aujourd’hui… modèle d’un homme lettré, à la hauteur de la belle science qu’il prodigue et où la Courtoisie, l’abnégation & la perspicacité… sont de rigueur …

    Porteur de différents modèles pédagogiques : que l’on se souvienne, tu étais l’Horloger & l’Architecte du Cadaap de l’Académie, avec d’autres maîtres du Temps et de l’Espace ahdab, kéraoui ,Aziz … Et les palmes académiques s’ennoblissent !

    Modèle d’un humanisme doux : philanthrope et maître de la bonté et de la fraternité , tu as eu le temps de marquer & de façonner avec ta douceur tes disciples, collègues, amis,

    Sincères condoléances à tous ceux pour lesquels ton départ est insupportable,
    Sincères condoléances à ta famille,

    Mostafa HAJY, PARIS

  3. Au moment où j’ai appris la douloureuse nouvelle du décès de notre cher ami et collègue, l’éminent éducateur, Si Abdelfettah Chérif que Dieu l’ait en Sa Sainte Miséricorde, il m’est venu à l’esprit l’oraison funèbre qu’a prononcé Leconte de l’Isle à l’annonce de la mort de Victor Hugo, et dont je me permets d’emprunter quelques courts extraits :
    « Dors, Maître, dans la paix de ta gloire ! Repose, cerveau prodigieux, d’où …jaillit l’éruption des concerts éclatants! Ton esprit immortel… emplit l’avenir des voix de ton génie… »

    En écoutant les éloges prononcés lors des obsèques et en voyant la foule immense qui a accompagné le cercueil de notre cher défunt, on ne peut que répéter ce qu’avait dit M. Le Royer, alors président du sénat français, devant le même spectacle, lors des funéraires de Victor Hugo : «je me demande ce que le langage humain, dans son expression la plus élevée, peut ajouter aux témoignages de regret et d’admiration prodigués à ce prodigieux génie. »

    Aux proches de notre cher Abdelfettah et à toute la grande famille du corps enseignant jdidi, j’adresse, ici, mes condoléances les plus attristées.
    رحم الله فقيدنا الكبير
    إنا لله وإنا إليه راجعون

    Mohammed Marouazi

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